Après avoir suivi le programme grande école de Neoma Business School, j’ai débuté ma carriere chez EY en audit, puis en Transaction Services pendant 4 ans.

J’ai rejoint SODICA Corporate Finance en tant qu’analyste M&A en septembre 2019. Je fais partie des équipes front de SODICA Corporate Finance, en charge de l’exécution des deals.

Quelle serait votre description du poste d’Analyste Fusions Acquisitions ?

En tant qu’analyste M&A, je fais partie des équipes en charge de l’éxécution des mandats d’achat/vente/levée de fonds confiés par nos clients.

Plus concrétement, je participe à la réalisation des supports utilisés lors de la commercialisation d’un dossier auprès des fonds d’investissement et acquéreurs industriels ciblés, à la modélisation financière des opérations, et plus généralement à la bonne éxécution du projet confié par le client.

Un autre aspect de mon travail est l’appui apporté aux Directeurs d’affaires dans leur démarche de prospection commerciale auprès des réseaux du groupe Crédit Agricole et des clients.

Quels sont les grands temps forts de votre métier sur l’année ?

Le M&A mid-cap permet d’être rapidement au contact des dirigeants d’entreprises et actionnaires. A mes yeux, les temps forts sont les moments d’échanges avec les clients, qui permettent de comprendre le projet du dirigeant et de définir la stratégie pour le réaliser.

En termes de rythme de travail, la phase de commercialisation d’un dossier est assez intense, puisque nous devons répondre aux sollicitations des acquéreurs potentiels contactés.

Dans une transaction, le rythme s’accélère au fur et mesure que l’on approche du closing. Ce sont les moments dans lesquels l’adrénaline est la plus forte, car un process de vente prend généralement 6 à 12 mois.

Pouvez-vous nous décrire une journée type ?

L’avantage du M&A, c’est qu’il n’y a pas vraiment de journée-type. Le process d’une transaction ne se déroule jamais vraiment comme prévu, on ne sait jamais trop ce qu’il peut se passer quand on arrive le matin au bureau.

L’ambiance chez SODICA Corporate Finance est bonne, les équipes d’éxécution sont jeunes, nous nous entraidons car il y a toujours une personne qui a déjà travaillé sur le même secteur que nous, alors nous échangeons des infos.

En dehors du temps de travail, on prend le temps de s’aérer, on va souvent au sport le midi entre collègues, cela créé des moments sympas hors du cadre professionnel.

Quel parcours faut-il avoir pour accéder à votre poste et quelles sont les possibilités d’évolutions ?

Historiquement chez SODICA Corporate Finance, le recrutement des juniors en CDI se faisait parmi les anciens stagiaires. Pour ma part, je suis l’un des premiers recrutements extérieurs sur un poste junior, puisque je viens d’EY chez qui j’ai passé 4 années.

Pour occuper un poste en M&A, il faut bien sûr un parcours en finance, mais un passage préalable sur des métiers de « technicien » comme l’audit et le TS représente un vrai plus selon moi.

Quels messages, souhaiteriez-vous transmettre aux personnes qui se projettent sur un poste similaire au vôtre ?

La finance ne se résume pas à Capital IQ et Infront. En mid-cap, il faut être capable de lire une balance générale, de discuter avec un DAF. Il faut donc avoir une culture financière solide.
Chez SODICA Corporate Finance, la culture d’entreprise est bienveillante entre les différents niveaux hiérarchiques.

Les collaborateurs sont jugés sur la qualité de leur travail, pas sur les « nocturnes » passées au bureau. Cela peut paraître assez normal, mais dans le milieu parfois « old school » du M&A, on peut dire que SODICA Corporate Finance a une approche moderne du métier. Et ça marche ! Nous sommes régulièrement classés sur le podium des leagues tables du M&A.

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